Baser la contestation à propos de la nomination du ministre actuel de la Communication sur sa méconnaissance du monde des médias prêterait aux adversaires l’opportunité de poser en retour la question perverse : ses deux prédécesseurs étaient de vos pairs, faut-il donc rappeler l’un ou l’autre de ces derniers ? Ouïe ouïe ouïe !!!
Pour sauver la liberté d’expression et assurer une égalité de traitement lors des élections, seule la libération de la RNM et de la TVM constituerait le meilleur signe, et durant cette période intermédiaire pré-électorale le Ministre a surtout le devoir de bâillonner le pervers code de communication. Question de moralité ! Avec celui-ci on a la garantie d’assister à des efforts tendant à imposer l’inverse. Aïe aïe aïe !!!
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